Lettre ouverte aux candidats à la Présidence de la République française, et aux partis qui les soutiennent.
Comme
il est maintenant d’usage courant que ceux qui prétendent nous
gouverner soient au mieux des incompétents, et au pire des ignorants en
matière de respect de notre Constitution, je crois utile de leur
rappeler que la violation d’une seule des dispositions que contient ce
texte, constituant le pacte républicain, relève de la forfaiture et
condamne l’ignorant à sombrer dans l’arbitraire, ce que le peuple doit
hélas ! subir depuis trop longtemps.
Dans
le préambule de notre Constitution, il y a l’engagement du respect de
la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, dont le
préambule de cette Déclaration rappelle clairement que : « l’ignorance,
l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des
malheurs publics et de la corruption des gouvernements ». Ce simple constat est d’une actualité brulante en matière de corruption de nos gouvernements.
Je rappelle que cette Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, figurant en tête de notre Constitution, a nécessairement force de loi, et elle est même supérieure aux autres articles que contient cette Constitution, car ses dix-sept articles sont déclarés comme étant des droits Naturels, Inaliénables et Sacrés, et qu’en son article 2, il est en plus précisé que ces droits naturels sont INALIÉNABLES et IMPRESCRIPTIBLES, pour ceux qui ne veulent pas comprendre ce que cela signifie - et ils sont légions dans le monde politique, mais aussi dans le monde judiciaire, dont le pitoyable Conseil Constitutionnel en est l’illustration caricaturale -, INALIÉNABLE ET IMPRESCRIPTIBLE signifient que rien ni personne ne peut en changer une virgule et qu’il n’est pas possible de les prescrire. Toute autre interprétation ne serait que vaine tentative de porter atteinte à cette inaliénabilité et à cette imprescriptibilité, et donc tomberait sous le coup de l’arbitraire.
Je rappelle que cette Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, figurant en tête de notre Constitution, a nécessairement force de loi, et elle est même supérieure aux autres articles que contient cette Constitution, car ses dix-sept articles sont déclarés comme étant des droits Naturels, Inaliénables et Sacrés, et qu’en son article 2, il est en plus précisé que ces droits naturels sont INALIÉNABLES et IMPRESCRIPTIBLES, pour ceux qui ne veulent pas comprendre ce que cela signifie - et ils sont légions dans le monde politique, mais aussi dans le monde judiciaire, dont le pitoyable Conseil Constitutionnel en est l’illustration caricaturale -, INALIÉNABLE ET IMPRESCRIPTIBLE signifient que rien ni personne ne peut en changer une virgule et qu’il n’est pas possible de les prescrire. Toute autre interprétation ne serait que vaine tentative de porter atteinte à cette inaliénabilité et à cette imprescriptibilité, et donc tomberait sous le coup de l’arbitraire.
«
Le
but de toute association politique est la conservation des droits
naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la
propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression ».
Il
découle de cet article 2, que les partis politiques ont l’OBLIGATION
d’avoir pour PREMIER objectif, la défense et la conservation des droits
naturels, inaliénables, sacrés et imprescriptibles que contient cette
Déclaration. Ce qu’ils ne font plus depuis trop longtemps, ayant pour
première préoccupation les intérêts politiques partisans d’une caste
d’apparatchiks reconstituant une nouvelle aristocratie et ses
lamentables privilèges.
Les partis politiques qui ont exercé les pouvoirs sont donc tous coupables d’avoir violé
la Constitution, et d’avoir commis le sacrilège de porter atteinte aux
droits naturels, sacrés, inaliénables et imprescriptibles de chaque
citoyen de ce pays, avec les conséquences de corruptions. Ils portent en
plus l’écrasante responsabilité des malheurs du peuple, qui sont
hélas ! nombreux.
Enfin,
pour tous les candidats à la prochaine élection présidentielle, je
rappelle les termes de l’article 3, de la DDHC de 1789, qui dispose la
chose suivante :
« Le
principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation.
Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane
expressément ».
Ceci
veut dire, d’une façon claire, précise, naturelle, inaliénable, sacrée
et imprescriptible, que la plus haute autorité de la Nation réside dans
le peuple, et lorsque ce dernier a exprimé EXPRESSÉMENT sa volonté, rien
ni personne ne peut se prévaloir d’une autorité supérieure, sauf à
violer délibérément et les droits Naturels, Sacrés, Inaliénables et
Imprescriptibles de la DDHC de 1789, et par la même occasion notre
Constitution qui ne reconnaît et ne peut pas reconnaitre d’autorité
supérieure à celle exprimée
par le peuple souverain, car cela porterait atteinte et constituerait
un sacrilège aux principes d’inaliénabilité et d’imprescriptibilité. Il
découle de cet article 3 que d’une part, le traité de Lisbonne n’a
aucune valeur légale sur le territoire français, et d’autre part, qu’il
n’est pas nécessaire de renégocier les directives que nous imposent
l'Europe des eurocrates, car ces dernières n’ont et ne peuvent avoir
aucune autorité ni valeur légale sur le sol de notre République, car
elles n’émanent pas EXPRESSÉMENT de la souveraineté populaire, puisque
c'est justement le contraire : une série d'actes arbitraires.
Alors,
chers postulants au poste de la présidence républicaine, sachez que les
directives de Bruxelles ne sont pas applicables à la France, puisque
contraire à sa Constitution, et ne sont donc que des actes arbitraires,
et des impostures que par lâcheté et corruption de nos élites nous
devons subir. Comme en dispose l’article 7, de la DDHC de 1789 : « Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ». Il
découle de ce qui précède, que vous devez cesser de nous promettre de
renégocier ce qui n’est ni applicable ni négociable sur le territoire
français, pas plus que vous devez nous promettre d’aller réclamer le
retour d’une souveraineté que nous n’avons jamais perdue, puisque par
les principes d’inaliénabilité et d’imprescriptibilité, nous ne pouvons
jamais en être dépossédés. Arrêtez de nous prendre pour des ignorants et
des incultes.
La
seule promesse crédible que vous pouvez encore faire c’est de faire
respecter notre Constitution et nos droits Naturels, Sacrés,
Inaliénables et Imprescriptibles, ceci ne souffre d’aucune
interprétation ni d’aucune exception. Notre souveraineté n'a jamais été
négociable et ne pourra jamais l'être, sauf à supprimer la DDHC de 1789.
Dites-le,
et surtout faites en sortes de faire enfin respecter les Droits de
l'Homme, ce sera un victoire pour l'Europe ! Vous en avez le pouvoir
légal sans avoir à demander la permission à des fonctionnaires apatrides
non élus, ignorants, corrompus et irresponsables.
Dans
le cas contraire, ne soyez pas surpris du mépris du peuple pour une
engeance politique indigne du moindre respect et de la moindre
considération citoyenne pour cause d'injustice.
Il n'y a pas de liberté sans justice.
Portez-vous
bien, gardez l’esprit clair et que votre probité soit réellement à la
hauteur du poste que vous ambitionnez d’occuper, cela nous changera pour
une fois.
C. Le Moal
http://temple-hermes-thoth.blogspot.fr/2017/01/y-en-marre-de-vos-promesses-bidons.html